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21/12/19
La
procureure de la cour Pénale Internationale demande à la Chambre
péliminaire l'ouverture d'une enquêtre concernant les crimes de
guerres commis par Israël à Jérusalem Est et à Gaza.
"je suis convaincue qu'il existe une
base raisonnable pour ouvrir une enquêt préliminaire"
La procureure Fatou Bensouda |
France
Culture le 21/12/1
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voir
la déclaration de la Procureure |
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Rappelons que l'Etat palestinien adhère à la
CPI depuis 5 ans. De nombreux dossiers de témoignage ont été
déposés auprès de la Cour Pénale Internationale, par
l"Autorité palestinienne et de nombreuses associations
palestiniennes de défence des Droits de l'Homme, en particulier de
l'association Al Haq, membre de la Fédération Internationale des
Droits de l'Homme. Rania Muhareb, juriste dans cette association qui a
fortement marqué le public dans le Grand Est lors de la tournée des
femmes palestiniennes fin novembre 2019, nous en avait longuement
parlé.
C'est un premier pas important... mais nous
sommes encore loin d'un procès !... dont nécessité paraît
pourtant l'on considère les 2 500 morts de la guerre contre Gaza
en 2014... et en 2018/2018 30 000 blessés dont plus de 8 000 victimes
des tirs de snipers israéliens contre une foule pacifique et désarmée
qui réclamait la levée du siège.
Article 49 de la 4° Convention de Genève :
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01/12/19
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05/11/19
La
récolte des olives en Palestine occupée |
un
podcast de France Inte à
partir de la 20° minute
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02/11/19
Ramallah : l’armée israélienne
kidnappe la députée palestinienne Khalida Jarrar |
L’Association
France Palestine Solidarité exige la libération immédiate de
Khalida Jarrar. Elle interpelle les parlementaires et les
autorités françaises :il
faut en finir avec l’impunité d’Israël qui considère que
tout lui est permis, de l’arrestation d’un enfant de 9 ans
à celle d’une députée palestinienne ou de journalistes et
photographes, ainsi que la torture des prisonniers politiques
palestiniens.
Communiqué
AFPS
Lire
la suite
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Samidoun
- Extraits |
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13/10/19
Refuser Solidarity
Network
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L’objectrice de
conscience Yasmin Ricci-Yadav a annoncé, pour la troisième
fois, son refus de la conscription.
« Je m’appelle Yasmin Ricci
Yahav, j’ai dix-huit ans et aujourd’hui, je déclare pour
la troisième fois mon refus d’être enrôlée dans les FDI
(NDT : Forces de Défense Israéliennes, nom officiel de
l’armée israélienne.)
J’ai déjà passé 30 jours en prison militaire et je
m’attends à être condamnée à une troisième période
d’emprisonnement. Je continue à refuser d’être enrôlée
pour protester contre le rôle des FDI dans l’occupation et
avec l’espoir que mon choix contribuera à une discussion en
toute franchise et en toute sincérité sur les alternatives
pour l’avenir d’Israël. »
Je vous remercie beaucoup pour votre
intérêt et votre soutien au mouvement des objecteurs israéliens.
Comme toujours, vous pouvez nous rejoindre en utilisant ce
lien.
Shana Tova (bonne année) à tous ceux
qui résistent à l’injustice
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12/10/19
Voir
le projet
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19/09/19
Elections
législatives anticipées en Israël
un
communiqué de l'AFPS Nationale : lire la suite
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05/09/19 |
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Ce film a été
maheureusement retiré du replay d'ARTE
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31/07/19 |
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Jérusalem :
destructions de maisons, expulsions de familles et crimes contre
l’humanité
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Ce 22 juillet, Israël a
commencé la destruction de 70 appartements concernant 350
personnes dans un quartier palestinien de Jérusalem. Pour ces
familles, expulsées de leur propre maison, c'est le projet de
toute une vie qui se trouve ainsi anéanti. |
Lire
la suite... |
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08/07/19
Contre le racisme et la haine, n’admettons aucune interférence avec un
État tiers
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Déclaration
du Bureau National de l'AFPS |
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Lors de la
séance du 4 juillet de l'Assemblée nationale, les députés
Meyer Habib, Sylvain Maillard et Aurore Bergé ont tenté
d'intégrer l'" apologie de l'antisionisme " à
la loi, en cours de discussion, relative à la prévention de la
haine sur Internet.
Faut-il rappeler une fois de plus que
l'antisionisme est une opinion politique, alors que
l'antisémitisme est une forme de racisme et de haine de
l'Autre, sanctionnée comme telle par la loi ?
Le rejet par l'Assemblée nationale des quatre propositions
d'amendement déposés par ces députés est une bonne nouvelle
: il montre que les interventions constantes des soutiens
inconditionnels de l'État d'Israël et de sa politique
commencent à lasser tout le monde, y compris les députés.
L'arrogance du député Meyer Habib, qui est aussi en Israël un
proche de Netanyahou et un militant de son parti, est d'ailleurs
sans limite : dans un tweet
le 3 juillet, il n'hésitait pas à dénoncer le "
manque de courage " du président de l'Assemblée nationale
qui n'avait pas répondu positivement à ses injonctions.
Après le rejet, le 19 février, par le président de la
République et le président de l'Assemblée nationale, de
l'idée d'une loi contre l'antisionisme avancée par le député
Sylvain Maillard, la bataille se concentre depuis le 29 mai sur
la proposition de résolution 1952, déposée par le même
député, dont l'article unique consiste à " approuver
sans réserve " la définition dite " IHRA " de
l'antisémitisme : une définition par elle-même indigente
voire dangereuse, mais accompagnée d'" exemples "
dont une bonne moitié font référence à l'appréciation que
l'on peut porter sur l'État d'Israël et sur sa politique [1].
Lors de la séance du 4 juillet de
l'Assemblée nationale, les députés Meyer Habib, Sylvain
Maillard et Aurore Bergé ont tenté d'intégrer l'"
apologie de l'antisionisme " à la loi, en cours de
discussion, relative à la prévention de la haine sur Internet.
Faut-il rappeler une fois de plus que l'antisionisme est une
opinion politique, alors que l'antisémitisme est une forme de
racisme et de haine de l'Autre, sanctionnée comme telle par la
loi ?
Le rejet par l'Assemblée nationale des quatre propositions
d'amendement déposés par ces députés est une bonne nouvelle
: il montre que les interventions constantes des soutiens
inconditionnels de l'État d'Israël et de sa politique
commencent à lasser tout le monde, y compris les députés.
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L'arrogance du
député Meyer Habib, qui est aussi en Israël un proche de
Netanyahou et un militant de son parti, est d'ailleurs sans
limite : dans un tweet le 3 juillet, il n'hésitait pas à
dénoncer le " manque de courage " du président de
l'Assemblée nationale qui n'avait pas répondu positivement à
ses injonctions.
Après le rejet, le 19 février, par le
président de la République et le président de l'Assemblée
nationale, de l'idée d'une loi contre l'antisionisme avancée
par le député Sylvain Maillard, la bataille se concentre
depuis le 29 mai sur la proposition de résolution 1952,
déposée par le même député, dont l'article unique consiste
à " approuver sans réserve " la définition dite
" IHRA " de l'antisémitisme : une définition par
elle-même indigente voire dangereuse, mais accompagnée
d'" exemples " dont une bonne moitié font référence
à l'appréciation que l'on peut porter sur l'État d'Israël et
sur sa politique [1].
Rappelons que la Commission nationale consultative des droits de
l'Homme (CNCDH) a rejeté à deux reprises cette "
définition ", et que la société civile s'est très
largement mobilisée contre la proposition de résolution du
député Sylvain Maillard : la
Ligue des droits de l'Homme, la Plateforme des ONG pour la
Palestine et
l'Association France Palestine Solidarité ont écrit aux
députés de l'Assemblée nationale, et de nombreux partis,
syndicats, associations ont pris position par une résolution du
Collectif national. Enfin une lettre à l'initiative de
Dominique Vidal et Bertrand Heilbronn, signée par plus de 3300
acteurs de la société civile en France, a été remise la
semaine dernière à toutes et tous les député.e.s [2].
Il faut maintenant être clairs : la France est riche des
initiatives et réflexions de sa société civile, y compris des
enseignants, magistrats et policiers dont la proposition de
résolution prétend faire l'éducation ; une proposition de
résolution sur la lutte contre l'antisémitisme et les autres
formes de racisme devrait faire référence aux réflexions et
propositions de la CNCDH et non au texte de propagande que
constitue la " définition IHRA ". A minima, le
nouveau texte de résolution qui sera présenté en octobre
devra explicitement exclure les " exemples " associés
à cette définition, jamais adoptés et toujours remis en avant
par les acteurs de la propagande israélienne.
D'une manière générale, la France doit clairement rejeter,
dans ces débats importants sur sa propre société, toute
ingérence et toute interférence d'un État tiers, sans aucune
exception. C'est la demande que l'AFPS a formulée par
lettre au président de la République.
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Le Bureau national de l’AFPS
8 juillet 2019
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27/06/19 |
Voir
le coup de gueule de Dominique de Villepin
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Palestine :
un plan américain ni fait ni à faire
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Editorial
- le Monde
Loin
d’être novateur, le volet économique du plan de paix pour
les territoires occupés échafaudé par Jared Kushner, le
gendre de Donald Trump, est un pot-pourri d’idées pour la
plupart préexistantes.hier à 10h42
Cent
trente-cinq pages sur le développement de la Palestine et, pas
une seule fois, le terme « occupation ». Dans
l’histoire des tentatives de règlement du conflit israélo-palestinien,
un exercice diplomatique traditionnellement prodigue en évitements,
chimères et autoaveuglement, le volet économique du plan de
paix échafaudé par Jared Kushner, le gendre du président américain,
Donald Trump, peut postuler au titre de chef-d’œuvre.
Dévoilée
à la veille de la conférence économique qui se tient, les 25
et 26 juin, à Bahreïn, cette initiative voit très grand :
moyennant un investissement record de 50 milliards de
dollars (44 milliards d’euros), issu du secteur privé et
de différents pays donateurs, l’administration américaine prétend
créer 1 million d’emplois, multiplier par deux le
produit intérieur brut palestinien et réduire de moitié la
pauvreté en Cisjordanie et dans la bande de Gaza.
Mais le
document élaboré par Jared Kushner, qui détaille les projets
censés permettre d’atteindre ces nobles objectifs, est aussi
alléchant de l’extérieur qu’affligeant à l’intérieur.
Il débite tous les clichés de la novlangue développementaliste
contemporaine – « libérer le potentiel économique »,
« améliorer la gouvernance » – en faisant
mine de croire que la Palestine est un pays comme un autre. |
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Le
principe de l’argent contre la paix
Le plan appelle à faire de la
Cisjordanie et de Gaza un carrefour commercial, bien qu’aucun
de ces territoires ne contrôle ses frontières et ne dispose d’un
port ou d’un aéroport. Il promet la 5G aux Palestiniens,
alors que ceux-ci viennent à peine d’obtenir la 3G, après
douze années de tractations avec l’armée israélienne, qui a
le monopole des fréquences dans les territoires occupés. Il
les exhorte à mieux protéger la propriété privée, pour
stimuler les investissements, en passant sous silence le fait qu’en
Cisjordanie le principal risque pesant sur le foncier provient
des colons juifs, maîtres en spoliation.
Galimatias hors-sol, hors histoire et
hors réalité, directement inspiré d’une droite israélienne
qui rejette le principe d’un Etat palestinien aux côtés de l’Etat
hébreu, le document Kushner pousse l’incohérence jusqu’à
incorporer, à titre d’illustration, des photos d’écoles de
l’UNRWA, l’agence de l’ONU chargée des réfugiés
palestiniens, et de projets financés par USAID, l’agence de
développement américaine. Or, Washington a coupé tout crédit
à la première et a ordonné à la seconde de cesser ses
opérations dans les territoires palestiniens. Lire aussi
Mahmoud Abbas rejette tout plan économique américain sans
solution politique
Jared Kushner qui, comme son beau-père,
a fait fortune dans l’immobilier, répond à ses détracteurs
qu’il pose un regard neuf sur un vieux conflit. Mais son plan,
loin d’être novateur, est un pot-pourri d’idées pour la
plupart préexistantes. Ces projets, qui ont souvent buté sur
le carcan de l’occupation israélienne, semblent avoir été
dépoussiérés et compilés à la va-vite pour les besoins de
la conférence de Bahreïn.
La particularité de l’approche du
trentenaire new-yorkais réside dans son mépris ostensible du
droit à l’autodétermination des Palestiniens. Au principe de
la terre contre la paix, socle de toute résolution du conflit,
sauf à s’aventurer sur le terrain miné de l’Etat
binational, il veut substituer le principe de l’argent contre
la paix. Cinquante milliards de dollars en échange du
renoncement des Palestiniens à un Etat digne de ce nom. Si le
mot « occupation » n’apparaît pas dans le plan Kushner, c’est
parce qu’il a vocation à la perpétuer.
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Le
plan Trump
pour
la Palestine...
Le coup de gueule
de
Dominique
de Villepin...
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16/05/18
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Retrait
d’Alstom du projet de tramway de Jérusalem : une
victoire du droit et de la mobilisation de la société civile
voir
site AFPS National |
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11/04/19
Netanyahou,
avec Trump, pour le pire : la France et l’Europe au pied
du mur
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[...]Massivement
soutenu par Trump et par tout ce que la planète compte d’extrême-droite,
Netanyahou avait clairement affiché la couleur sur son projet
politique : disparition de tout espoir de création d’un
État palestinien, annexion d’une grande partie de la
Cisjordanie, maintien de la division politique entre ce qui
resterait de la Cisjordanie et la Bande de Gaza, déni complet
du droit au retour des réfugiés palestiniens et renforcement
de l’apartheid.
[...]Cela
fait longtemps que les mots ne suffisent plus, mais cette fois
la France, les États européens soucieux d’un minimum de
droit, et l’Union européenne elle-même sont au pied du mur.
Il
est grand temps de réaffirmer la primauté du droit sur la
force en reconnaissant enfin l’État de Palestine, dans ses
frontières d’avant 1967 avec Jérusalem Est pour capitale. Il
est grand temps de rappeler aussi que l’accord d’association
entre l’Union européenne et Israël n’a plus de sens si cet
État viole systématiquement le droit international et le droit
humanitaire.
[...] |
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Lire
la suite ... |
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01/04/19
Marche du retour
à Gaza le 30 mars... 4
palestiniens tués et 356 blessés...
et un éditorial
des DNA carrément scandaleux
Depuis un
an..., le bilan du Bureau de la
coordination des affaires humanitaires de l'ONU est effroyable: |
dont |
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271
palestiniens
tués
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29
187
palestiniens
blessés
|
7
519
blessés
par balle par les snipers israéliens |
5
333
enfants
|
plus
de 400 amputés |
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Il se trouve qu'un éditorialiste des Dernière
Nouvelle d'Alsace, Pascal Coquis, au lendemain de de cette
nouvelle manifestation, et avec un cynisme mortifère devant cet
effroyable bilan ose accuser les palestiniens de Gaza qui protestent
contre le siège et le blocus qui les enferment depuis 12 ans de servir
de "matériel" humain au service des "extrémistes".
L'éditorial
Probablement, monsieur
Coquis, vous êtes de ceux qui considèrent que les
"vrais" responsables du massacre d'Oradour sur Glane
seraient les résistants qui ont en luttant pour la Liberté
auraient par leurs actions transformé en une "paisible
armée d'occupation" en un groupement de criminels de
guerre... et que ce sont les gazaouis qui
manifestent qui "obligent", les "gentils"
snipers israéliens de leur tirer dessus... Ecoeurant...
Cela vous donne franchement
envie de dégu...
Monsieur Coquis, ne vous en
déplaise, tirer et faire tirer sur des civils désarmés c'est
un crime de guerre. Le commandement et les tireurs devront un
jour répondre de ces crimes devant les tribunaux.
Exemple
de lettre
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28/02/19
Khalida
Jarrar députée palestinienne libérée aujurd'hui ! |
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Après
20 mois de détention administrative, les autorités pénitentiaires
de l'occupation ont remis en liberté à l'aube de ce jeudi du
28 février 2019 la résistante Khalida Jarrar membre du Front
Populaire de Libération de la Palestine (FPLP).
Khalida Jarrar est députée palestinienne et une personnalité
politique de premier plan.
Le commandant militaire de l'occupation de la Cisjordanie avait
prononcé un ordre de détention administrative d’une durée
de six mois à son encontre le 12 juillet 2017. Depuis, cette
mesure avait été renouvelée à trois reprises, les 31 décembre
2017, 17 juin 2018 et 25 octobre 2018. Bien que la durée de
validité maximale des ordres de détention administrative soit
de six mois, le droit militaire de l'occupant prévoit qu’ils
peuvent être renouvelés indéfiniment. Aussi, rien ne
garantissait que Khalida Jarrar puisse être libérée ce 28 février
2019.
Aujourd'hui, sa libération prouve que
la lutte et la solidarité ne sont pas des mots creux.
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21/02/19
JERUSALEM...
Bataille "immobilière" ...
ou
les méthodes de l'épuration ethnique...
France
Inter
https://www.franceinter.fr/emissions/sous-les-radars/sous-les-radars-20-fevrier-2019
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18/02/19 |
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Alain Finkielkraut est connu pour son
soutien sans condition au régime d'apartheid israélien
organisant la séparation entre juifs et non juifs sur
l'ensemble de la Palestine historique. C'est à ce titre qu'il
peut et doit être critiqué. Toute autre référence, tout
autre amalgame serait contraire à notre éthique et est
condamnable. |
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Un petit groupe de personnes s’en est pris
personnellement à Alain Finkielkraut en marge d’une
manifestation à Paris le samedi 16 février. Les vidéos
mettent en évidence des propos racistes et d’une extrême
violence qu’il appartiendra à la justice de qualifier.
L’Association France Palestine Solidarité condamne
ces faits inacceptables, comme elle condamne toute
manifestation de haine ainsi que le racisme sous toutes ses
formes, notamment l’antisémitisme et le racisme anti-arabe.
Elle condamne également les provocations et amalgames et
notamment ceux dont Alain Finkielkraut est coutumier.
Tout en rappelant son opposition au sionisme en tant
qu’idéologie dont les Palestiniens sont les premières
victimes, l’AFPS réfute catégoriquement l’utilisation du
terme "sioniste" associé à des propos injurieux
visant des personnes.
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Elle réfute de la même manière tous les amalgames,
notamment ceux qui sont portés par le gouvernement israélien
et ses soutiens inconditionnels pour tenter de faire taire
celles et ceux qui dénoncent ses crimes. Toute tentative
d’instrumentalisation des derniers événements pour assimiler
l’antisionisme, qui est une opinion politique, à l’antisémitisme
qui est un délit, serait une grave atteinte à la liberté
d’expression et irait à l’exact opposé d’une lutte sincère
contre l’antisémitisme.
Le combat que nous menons pour les droits du peuple
palestinien, avec de nombreuses autres organisations de la société
civile en France et dans le monde, n’a rien à voir avec ces
discours de haine. C’est un combat qui a vocation à nous unir
sur les valeurs communes que sont
Le Bureau national de l’AFPS
17 février 2019 |
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05/01/2019
Prendre
connaissance de la loi fondamentale de séparation (d'apartheid) entre
les populations juives et non juives sur l'ensemble de la Palestine
historique
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Grève de la faim des prisonniers
politiques
palestiniens
39° jour...
Ecrivez
au Président de la République :
Consulter
le site ACAT
- Ecrivez
au Président de la République
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