Retour

    Manifestation contre la commération du 125° anniversaire du congrès sioniste  Bâle, Dimanche 28 Août

Menu


30/08/22

Alterpresse68

l’occasion du 125 ème anniversaire du fondement du mouvement sioniste, la ville de Bâle s’est fortement engagée dans le soutien financier, organisationnel et sécuritaire de manifestations diverses pour commémorer cet événement.

Les forces militaires et policières mobilisées sur une durée de plusieurs jours sont comparables à celles utilisées pour les sommets de Davos, selon la presse bâloise, et donne une idée de l’importance de ces célébrations pour le gouvernement de Bâle.

Ce 28 août des centaines de manifestants venus de nombreuses villes suisses, d’Allemagne et d’Alsace ont dénoncé dans la rue la réalité de ce qu’est le sionisme aujourd’hui : le faux-nez d’un régime d’apartheid, d’une colonisation inexorable, d’une répression militaire et policière, d’atteintes systématiques et massives aux droits humains du peuple palestinien.

La condamnation de la politique israélienne est de plus en plus partagée par les opinions publiques. Représentants onusiens, organisations de défense des droits humains israéliennes ou internationales multiplient rapports et constats des exactions générées par la politique  poursuivie par Israël.

La diplomatie française ne s’honore pas par son silence assourdissant devant les réalités les plus sombres de cette politique : arrestations massives de Palestiniens – enfants compris – colonisation violente, discriminations sur des bases ethnico-religieuses dans tous domaines, silence total devant la présence dans l’armée d’occupation de milliers de jeunes français ou franco-israéliens dans le cadre de leur service militaire, pour ne citer que quelques aspects parmi les plus choquants des réalités  des fondements idéologiques traduits par l’actuel État israélien.

Nombre d’intellectuels juifs condamnent cette image du sionisme qui, au nom du judaïsme, prive les populations palestiniennes de leurs droits fondamentaux en Israël, en Cisjordanie, à Gaza, pour toute la Diaspora. 

Pas un slogan qui aurait pu relever de l’antisémitisme n’a été entendu durant cette longue après midi d’expression publique : « Free Palestine » et « Viva Palestine » étaient les mots d’ordre principaux retenus.

A l’occasion du 125ème anniversaire du fondement du mouvement sioniste, la ville de Bâle s’est fortement engagée dans le soutien financier, organisationnel et sécuritaire de manifestations diverses pour commémorer cet événement.

 

Les forces militaires et policières mobilisées sur une durée de plusieurs jours sont comparables à celles utilisées pour les sommets de Davos, selon la presse bâloise, et donne une idée de l’importance de ces célébrations pour le gouvernement de Bâle.

Ce 28 août des centaines de manifestants venus de nombreuses villes suisses, d’Allemagne et d’Alsace ont dénoncé dans la rue la réalité de ce qu’est le sionisme aujourd’hui : le faux-nez d’un régime d’apartheid, d’une colonisation inexorable, d’une répression militaire et policière, d’atteintes systématiques et massives aux droits humains du peuple palestinien.

La condamnation de la politique israélienne est de plus en plus partagée par les opinions publiques. Représentants onusiens, organisations de défense des droits humains israéliennes ou internationales multiplient rapports et constats des exactions générées par la politique poursuivie par Israël.

La diplomatie française ne s’honore pas par son silence assourdissant devant les réalités les plus sombres de cette politique : arrestations massives de Palestiniens – enfants compris – colonisation violente, discriminations sur des bases ethnico-religieuses dans tous domaines, silence total devant la présence dans l’armée d’occupation de milliers de jeunes français ou franco-israéliens dans le cadre de leur service militaire, pour ne citer que quelques aspects parmi les plus choquants des réalités des fondements idéologiques traduits par l’actuel État israélien.

Nombre d’intellectuels juifs condamnent cette image du sionisme qui, au nom du judaïsme, prive les populations palestiniennes de leurs droits fondamentaux en Israël, en Cisjordanie, à Gaza, pour toute la Diaspora.

Pas un slogan qui aurait pu relever de l’antisémitisme n’a été entendu durant cette longue après midi d’expression publique : « Free Palestine » et « Viva Palestine » étaient les mots d’ordre principaux retenus.

 

Voir le texte de l'intervention de l'AFPS Alsace publié apr AlterPresse68